COViD-19 TRES DANGEREUX REAGiSSONS ViTE

Ce qu'il faut savoir, c'est, pour chacun quel est le seuil de gravité, pour prendre conscience et agir? Est-ce que ce sont les chiffres, décès, nombre d'hospitalisés, contaminations au quotidien? Ou alors est-ce la privation de liberté, le décès d'un proche, le fait de subir la maladie dans son corps qui vont donner l'alerte, faire réagir et faire intégrer le processus de mise en garde et l'appliquer à soi-même?

En fait, pour les pandémies, mais aussi les guerres, les effets collatéraux sont pires que la cause elle-même. Économiquement, c'est la Bérézina. Cela, des experts ou des personnes très averties, des gens dans la campagne comme au cœur des villes, des personnes âgées qui décèdent chaque jour le savent et l'on annoncé avant même. Ils sont loin d'être insignifiants ces dépendants ou ces retraités qui à 90 ans seraient prêts à rempiler. Des ethnologues vidéastes font leur portrait et on y trouve les clés du futur. On appelle cela aujourd'hui des lanceurs d'alerte, la majorité ne les écoute pas. Pire, ils pensent et disent qu'ils nous coûtent cher en retraite. Ne parlons pas de l'euthanasie, laissons le sujet à la littérature. 

La vraie question, la santé, est un capital fragile. On a chacun une génétique de base, qui va croiser des agents pathogènes au cours de la vie. Hygiène de vie, hygiène dans la vie, slalom entre les produits chimiques, le tabac et la radioactivité, résistance à la pollution, notamment atmosphérique, travail, équilibre mental, vont structurer les étapes de la vie et permettre de passer des caps, comme un bateau qui ferait le tour du monde, pour atteindre le dernier relais, l'espérance de vie. C'est tellement individuel, tellement personnel, mais aussi collectif et communautaire. 

La vraie question c'est que si on fait tout bien, on vit plus longtemps, avec une espérance de vie plus élevée. Au lieu de paniquer sur le réchauffement climatique, de focaliser sur un sujet pour effrayer les gens, un truc qui ne marche pas, mieux vaut se poser la question, comment fait-on pour nourrir décemment tout le monde? Partons sur 10 milliards à terme. Est-ce qu'on fait de la gastronomie 3 étoiles, ou de l'industrie type Tricatel? Les deux mon capitaine. Ceux qui peuvent suivent le Michelin et les autres Soleil Vert. Pour nourrir la planète la solution qui consiste à améliorer l'ordinaire avec les grands chefs est la plus sereine. Car ce qu'il faut savoir, c'est que justement une bonne alimentation,  consommée dans de bonnes conditions, permet à l'homme de tenir sur ses jambes. Un jeune couvreur qui n'a pas mangé un bon casse-croûte le matin ne monte pas sur les toits! Parole d'ancien. Même chose pour une mère enceinte qui ferait un régime uniquement pour elle, histoire de garder la ligne.

On le voit déjà, le choix est vite fait, réduire la voilure, c'est manquer de bras, mais aussi de cerveaux. La mise en pratique une fois l'analyse bien posée est à la portée d'un enfant.